Samedi 16 mars, les habitants et les commerçants du 8ème arrondissement, ainsi que les forces de l’ordre mobilisées pour les protéger, ont une nouvelle fois subi le déferlement des violences perpétrées par des professionnels du chaos contre les biens et les personnes.
Ces violences urbaines sont inacceptables.
Elles étaient prévues par tous - à commencer par les services de renseignement territoriaux. Mais elles n’ont pas été prévenues. Et le maintien en “libre-service” sur le domaine public de mobiliers urbains ainsi que de matériels de chantier et d’échafaudages pouvant aisément servir d’armes par destination, laissent aux victimes le désagréable sentiment d’être “livrées” à des émeutiers qui semblent parfois agir en toute impunité en dépit de leur volonté manifeste de tuer.
Elles continuent de se dérouler en marge de “manifestations” de “gilets jaunes” elles-mêmes illicites. En droit, en l’absence de déclaration, ces “manifestations” sont des attroupements. Cela fait maintenant de nombreux samedis qu’il n’y a plus ni “manifestants”, ni mots d’ordre. Ne subsistent que des barricades et des pillages perpétrés par des casseurs professionnels avec la complicité de pseudo “gilets jaunes” qui leur offrent ainsi un “cheval de Troie”.
Pour la France en général et Paris en particulier, le préjudice économique et d’image est incommensurable.
Le temps est plus que venu pour les pouvoirs publics concernés d’assumer la mise en oeuvre sur le terrain d’une doctrine de prévention des troubles et de restauration de l’ordre public qui soit enfin véritablement efficace !
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