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Portrait de Catherine Lécuyer sur le terrain.

Retrouvez sur cette page des éléments sur ma vie, mon engagement politique, les convictions et les valeurs qui guident mon engagement et orientent mon action.

 

> Mes racines bretonnes | Un parcours politique | L'énergie des valeurs | La droite que j'aime | Combattre le fatalisme | Collaborer dès que possible, s'opposer chaque fois que nécessaire | Une ambition pour ma famille politique

Mes racines bretonnes

Mes racines sont en basse Bretagne, pays de ce granit dont on fait les hommes durs au mal. Je suis issue d’une famille de "Juloded", des paysans marchands de toile, qui ont contribué à la prospérité de la région grâce à la culture du lin, sa transformation en fine toile et son exportation par voie maritime en direction de la Hollande, l’Angleterre, le Portugal et l’Amérique. Les Juloded sont à l’origine de la construction des magnifiques enclos paroissiaux du Léon. Entrepreneur dans l’âme, ma famille s’est ensuite lancée dans la grande épopée du chemin de fer avec la construction d’une partie du réseau ferré français.

Très soucieux de la chose publique et du bien commun, mes ancêtres sont nombreux à avoir pris part à la vie politique bretonne comme élus locaux ou nationaux, à l’Assemblée et au Sénat. L’un d’entre eux, Jacques Queinnec, a siégé à la Convention entre septembre 1792 et octobre 1795. Lors du procès de Louis XVI, il vota "la détention pendant la guerre, et la déportation à la paix". Il déclara : "Je ne suis pas juge, je ne puis donc voter que pour la détention pendant la guerre, et la déportation à la paix."5. Il vota ensuite pour le sursis et pour la mise en arrestation de Marat. Ces hommes avaient à cœur le développement de leur région et le rayonnement de la France, à l'instar de François-Louis Soubigou qui siégea à l’Assemblée nationale de 1912 à 1914.

Fille de militaire, j’ai passé mon enfance dans des villes de garnison françaises (Metz, Verdun, Sarrebourg, etc.), au gré des mutations paternelles, et je suis encore habitée par ces paysages lorrains meurtris par les grandes batailles de la Première Guerre mondiale. Devenue parisienne il y a plus de 30 ans, j’aime Paris et suis consternée par le manque de vision et d’ambition pour la capitale de la France.

Un parcours politique

Engagée en politique en 2008, j'ai été élue conseillère nationale de l'UMP en 2009. J'ai pris en charge le thème de la petite enfance en 2015 après avoir été nommée par Nicolas SARKOZY Secrétaire nationale LR et membre de la Commission exécutive des Républicains.

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En mars 2014, les électeurs du 8e arrondissement m’ont fait l’honneur de m’élire Conseillère de Paris. A ce titre, j’ai notamment été administratrice à la Régie des Eaux et à la SemPariseine. En 2016, j’ai été élue Conseillère métropolitaine à la Métropole du Grand Paris. J’ai par ailleurs été nommée Déléguée nationale LR chargée de la fédération professionnelle en charge du logement, de l’habitat et de l’urbanisme.

En 2018, je me suis portée candidate à la présidence de la Fédération Les Républicains de Paris pour incarner dans la capitale une droite libre, militante, fière de ses valeurs et force de proposition pour la reconquête de Paris. Un adhérent sur quatre m’a alors fait confiance.

En 2020, à la tête de la liste de rassemblement de la droite et du centre “Une nouvelle énergie pour le 8e”, j’ai obtenu la confiance de plus de 17% des électeurs de l’arrondissement aux élections municipales. Seule candidate indépendante élue à Paris, je siège dans l’opposition pour la mandature 2020-2026 en cours.

L'énergie des valeurs

La liberté, la famille, l'éducation, l'autorité, etc., sont autant de valeurs fondamentales qui doivent guider la réussite de notre vie individuelle et collective. Je leur attache une importance particulière. Ces valeurs, j’en suis fière. Elles sont des racines autant que des ailes. Ces valeurs orientent mon action politique. Je crois qu'elles devraient davantage orienter la vie municipale parisienne.

Être de droite, c'est pour moi aussi être attachée à la responsabilité, au travail, au mérite, à l'entreprise, à la famille, à l'éducation, au patrimoine, à la transmission, au civisme, à l'autorité, aux traditions, à la laïcité, à la solidarité, à l'esprit d'équipe. C'est encore un certain pragmatisme, par opposition aux idéologies de gauche et au dogmatisme sectaire de la Maire de Paris. L'une des beautés d'un mandat local réside d'ailleurs dans le fait qu'il est souvent possible - et souhaitable - de se retrouver sur certains sujets, indépendamment des orientations politiques.

Et c'est bien sûr la liberté. J'attache de l'importance à la liberté, au sens de possibilité d'action et de mouvement, avec, le cas échéant, des contraintes strictement nécessaires, adaptées et proportionnées aux besoins collectifs qu'exige telle ou telle situation. La liberté d'aller et venir, la liberté du travail, la liberté du commerce, le droit de mener une vie familiale normale, sont des libertés fondamentales et des principes à valeur constitutionnelle.  La Mairie de Paris doit mieux garantir l'exercice de ces libertés fondamentales dans la capitale.

Vous pouvez compter sur mes valeurs et sur mon énergie, sur "l'énergie de mes valeurs".

J'attache de l'importance à la liberté, au sens de possibilité d'action et de mouvement, avec, le cas échéant, des contraintes strictement nécessaires, adaptées et proportionnées aux besoins collectifs qu'exige telle ou telle situation. La liberté d'aller et venir, la liberté du travail, la liberté du commerce, le droit de mener une vie familiale normale, sont des libertés fondamentales et des principes à valeur constitutionnelle.  La Mairie de Paris doit mieux garantir l'exercice de ces libertés fondamentales dans la capitale.

La droite que j'aime

Comme élue, je n’appartiens à aucune chapelle idéologique, aucun clan partisan, aucune écurie présidentielle. J’ai la conviction que mon indépendance est une force pour rassembler, unir, mobiliser. 

 

Femme de droite, je suis tout particulièrement mobilisée sur les thèmes de l’éducation, la réduction des déficits publics, la baisse des impôts, la compétitivité et la baisse des charges des entreprises, la simplification administrative, l’avenir des retraites, la lutte contre la délinquance et l’insécurité, ou encore la maîtrise de l’immigration.

 

Confiante, la droite que j’aime est tournée vers l’avenir, l’innovation, la transition écologique, l’esprit d’initiative et d’entreprise, l’émancipation des individus et la responsabilité. C’est une droite qui défriche les idées pour préparer notre avenir collectif, sans tabou ni totem.

Combattre le fatalisme

Comme élue, j'ai toujours été mobilisée au service des habitants du 8e arrondissement pour combattre le fatalisme, celui de l'immobilisme idéologique et de la résignation quotidienne. 

 

Je me rends régulièrement à leur rencontre pour échanger sur leurs besoins, leurs attentes, leurs espoirs. J'interviens à tous les Conseils du 8e arrondissement, pour défendre des vœux, poser des questions et contrôler l'action de la Maire de Paris - et malheureusement aussi celle de la Maire du 8e arrondissement… Je participe enfin aux réunions des Conseils de quartier.

Comme élue, j'ai toujours été mobilisée au service des habitants du 8e arrondissement pour combattre le fatalisme, celui de l'immobilisme idéologique et de la résignation quotidienne.

Collaborer dès que possible, s'opposer chaque fois que nécessaire

L'organisation politique et administrative de la capitale emporte plusieurs conséquences. Premièrement, c'est la Mairie de Paris qui dispose du pouvoir juridique de décision, les Mairies d'arrondissement ne disposant, dans la plupart des domaines, que d'un simple pouvoir politique d'avis et d'influence. Deuxièmement, les services administratifs déconcentrés dans les arrondissements se trouvent sous l'autorité hiérarchique et fonctionnelle de la seule Mairie de Paris, non celle des Mairies d'arrondissement.

Dans ces conditions, pour faire connaître et valoir les intérêts des habitants dans la mise en œuvre des politiques municipales, les Mairies d'arrondissement doivent collaborer avec la Mairie de Paris. Mais cette collaboration doit s'arrêter là où commence la trahison des intérêts des habitants et du mandat des électeurs. Collaborer, oui, mais sans trahison ni complicité. 

Pour cela, les Maires d'arrondissement doivent actionner tous les leviers à leur disposition pour optimiser leur pouvoir politique d'avis et d'influence, à défaut de disposer d'un pouvoir juridique de décision. C'est précisément parce qu'ils ont peu de pouvoir qu'ils doivent s'en emparer pleinement et l'exercer au maximum.

Une ambition pour ma famille politique

Mon ambition est simple : je veux aider ma famille politique à offrir aux Français en général et aux Parisiens du 8e en particulier les alternances politiques - nationale et locale - qu’ils attendent depuis de nombreuses années. Dans les prochains mois, je l’aiderai à reconquérir les cœurs et les esprits des Français et des Parisiens.
 
Ma conviction est la suivante. En 2026, après un quart de siècle de socialisme municipal et deux mandats de la Maire de Paris, lesquels auront significativement dégradé le cadre et la qualité de vie dans la capitale, les Parisiens auront envie d'une véritable alternance politique. Si la priorité est de gagner Paris, l'alternance ne sera possible qu'à la condition que les oppositions réussissent à se rassembler afin de former une large coalition électorale pour l'alternance. La volonté de faire battre dans les urnes Anne HIDALGO ou son successeur devra être suffisamment forte afin que ces formations acceptent les compromis indispensables pour être en capacité de (re)conquérir Paris.

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