Consciente des risques de troubles à l’ordre public que présentait l’arrivée de la manifestation syndicale du 9 janvier place Saint-Augustin, j’ai immédiatement écrit au Préfet de police de Paris pour lui demander d’expliquer pourquoi il n’avait pas interdit un tel trajet à risque.
Nous avons tous constaté à regret la survenance des violences et des dégâts redoutés, pourtant prévisibles et donc évitables, notamment sur la place Saint-Augustin et rue de la Pépinière.
Déplorant les préjudices une nouvelle fois subis par les habitants et les acteurs économiques de l’arrondissement, à juste titre excédés, j’interpellerai également le Préfet de police lors du prochain Conseil de Paris.
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